高手来翻译下!~~ 着急啊

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反托拉斯法律,设法控制行使私营经济强国,防止垄断,惩治卡特尔,否则,保护竞争。研究起源的反托拉斯法,有助于理解和解释。他们的历史谱系延伸,从法律的共同行动,其中有限的束缚,贸易,而且在一定程度上,要求取缔的垄断力量和中间人的利润。许多倡议者的谢尔曼法认为,这项措施作为联邦制定共同的法律禁止的限制贸易。见李柱铭j.斯克拉,企业重建的美国资本主义, 1890年至1916年,在105-17 ( 1988 ) 。因此,参议员约翰谢尔曼,该规约的同名说,国会正在制定,提出了“法治的共同的法律为准,在英格兰和在这个国家” 。 20丛。 rec.1167 ( 1899年) 。该法的术语提请非常广泛,形成共同的法律词汇。
在寻求“ federalize ”的共同规律贸易的限制,谢尔曼法的作者打算把这些组成部分的共同法律禁止的反竞争的安排,例如操纵价格卡特尔。在国会的审议该法案,参议员谢尔曼讨论了几个说明性的共同的法律案件,谴责卡特尔和类似的贸易限制。 21丛。建议。 2457-59 ( 1890 ) 。这和其他的描述,相关的判例法在立法会的辩论中表明,该规约的倡议者知觉的共同法律,以体现倾向于竞争和敌视卡特尔和其他反竞争的策略。见威廉letwin ,法律和经济政策,在美利坚合众国:演变谢尔曼反托拉斯法85-99 ( 1965年) :托马斯长李国章,告别大海的疑问: jettisoning宪法谢尔曼法, 74华航。研究冯智活。 263 , 279-80 ( 1986年) 。
参议员谢尔曼和他的同事们建议,共同的法律案件提供了清楚界定的,综合的行为标准。历史学家今天就这个观点作为一个unsupportable简化。在十九世纪末期,共同规律贸易的限制,是动荡和不清晰,尤其是关于是否“裸露”贸易的限制,应该受到谴责自动一旦他们的存在证明,或应评估的合理性测试。见詹姆斯5月,在反托拉斯的形成时代。政治和经济理论在宪法和反托拉斯分析, 50俄亥俄州圣lj258 , 311-31 ( 1989年) 。
之前, 1890年,英语和美国普通法法庭用了两个基本途径,研究贸易的限制。一些决定允许限制性公约在合同中时,这种公约在有限的时间和空间和合理的有关合同的,中央的目的,如一项为期五年的限制,卖方的一家面包店没有竞争白衣的买家购买卖方的良好意愿(即,他去的商业价值) ,以及这个店。其他情况下,采取了更为宽容的观点,甚至坚持无限的版图划分。

商业克制是否是助手取决于cov- enant
是否是下级到交易的主要合法的目的,或者w-
作为合同的对象并且“赤裸契约
不竞争”。 因为以后决定解释的,党的兴趣和
公众将被保护。 法院,因此,询问了: 为
什么目的克制被强加了? 什么是协议的作用?
(欣然可能promisor实践他的贸易在别处和可能
公众接受他的竞争的好处某处?) 没有surpris-
Ingly,限制性契约在就业合同比
契约严密未被详细检查连接到事务的销售。 当法院
变得更加老练他们也问合法的宗旨是否
可能得到用某一较不限制性方式。 (Was it necessary to bind
an employee’s right to his trade in order to protect business secrets?)
As the philosophy of laissez faire grew more fi

1:Pay respects toward Communist Party of China! 2:To postpone Anne people to pay respects!3:Postpone Anne Anne Jian science and technology limited company

1中国共产党に向って敬意を表します! 2:延安の人民に向って敬意を表します!3:延びて健やかな科学技术有限会社が安らかです
Cela se passait en plein hiver et les flocons de neige tombaient du ciel comme un duvet léger. Une reine était assise à sa fenêtre encadrée de bois d'ébène et cousait. Tout en tirant l'aiguille...
Cela se passait en plein hiver et les flocons de neige tombaient du ciel comme un duvet léger. Une reine était assise à sa fenêtre encadrée de bois d'ébène et cousait. Tout en tirant l'aiguille, elle regardait voler les blancs flocons. Elle se piqua au doigt et trois gouttes de sang tombèrent sur la neige. Ce rouge sur ce blanc faisait si bel effet qu'elle se dit : Si seulement j'avais un enfant aussi blanc que la neige, aussi rose que le sang, aussi noir que le bois de ma fenêtre ! Peu de temps après, une fille lui naquit ; elle était blanche comme neige, rose comme sang et ses cheveux étaient noirs comme de l'ébène. On l'appela Blanche-Neige. Mais la reine mourut en lui donnant le jour.
Au bout d'une année, le roi épousa une autre femme. Elle était très belle ; mais elle était fière et vaniteuse et ne pouvait souffrir que quelqu'un la surpassât en beauté. Elle possédait un miroir magique. Quand elle s'y regardait en disant :

Miroir, miroir joli,
Qui est la plus belle au pays ?

Le miroir répondait :

Madame la reine, vous êtes la plus belle au pays.

Et elle était contente. Elle savait que le miroir disait la vérité. Blanche-Neige, cependant, grandissait et devenait de plus en plus belle. Quand elle eut atteint ses dix-sept ans elle était déjà plus jolie que le jour et plus belle que la reine elle-même. Un jour que celle-ci demandait au miroir :

Miroir, miroir joli,
Qui est la plus belle au pays ?

Celui-ci répondit :

Madame la reine, vous êtes la plus belle ici
Mais Blanche-Neige est encore mille fois plus belle.

La reine en fut épouvantée. Elle devint jaune et verte de jalousie. À partir de là, chaque fois qu'elle apercevait Blanche-Neige, son cœur se retournait dans sa poitrine tant elle éprouvait de haine à son égard. La jalousie et l'orgueil croissaient en elle comme mauvaise herbe. Elle en avait perdu le repos, le jour et la nuit. Elle fit venir un chasseur et lui dit :
- Emmène l'enfant dans la forêt ! je ne veux plus la voir. Tue-la et rapporte-moi pour preuve de sa mort ses poumons et son foie.
Le chasseur obéit et conduisit Blanche-Neige dans le bois. Mais quand il eut dégainé son poignard pour en percer son cœur innocent, elle se mit à pleurer et dit :
- 0, cher chasseur, laisse-moi la vie ! je m'enfoncerai au plus profond de la forêt et ne rentrerai jamais à la maison.
Et parce qu'elle était belle, le chasseur eut pitié d'elle et dit :
- Sauve-toi, pauvre enfant !
Les bêtes de la forêt auront tôt fait de te dévorer ! songeait-il. Et malgré tout, il se sentait soulagé de ne pas avoir dû la tuer. Un marcassin passait justement. Il le tua de son poignard, prit ses poumons et son foie et les apporta à la reine comme preuves de la mort de Blanche-Neige. Le cuisinier reçut ordre de les apprêter et la méchante femme les mangea, s'imaginant qu'ils avaient appartenu à Blanche-Neige.
La pauvre petite, elle, était au milieu des bois, toute seule. Sa peur était si grande qu'elle regardait toutes les feuilles de la forêt sans savoir ce qu'elle allait devenir. Elle se mit à courir sur les cailloux pointus et à travers les épines. Les bêtes sauvages bondissaient autour d'elle, mais ne lui faisaient aucun mal. Elle courut jusqu'au soir, aussi longtemps que ses jambes purent la porter. Elle aperçut alors une petite maisonnette et y pénétra pour s'y reposer. Dans la maisonnette, tout était minuscule, gracieux et propre. On y voyait une petite table couverte d'une nappe blanche, avec sept petites assiettes et sept petites cuillères, sept petites fourchettes et sept petits couteaux, et aussi sept petits gobelets. Contre le mur, il y avait sept petits lits alignés les uns à côté des autres et recouverts de draps tout blancs. Blanche-Neige avait si faim et si soif qu'elle prit dans chaque assiette un peu de légumes et de pain et but une goutte de vin dans chaque gobelet : car elle ne voulait pas manger la portion tout entière de l'un des convives. Fatiguée, elle voulut ensuite se coucher. Mais aucun des lis ne lui convenait ; l'un était trop long, l'autre trop court. Elle les essaya tous. Le septième, enfin, fut à sa taille. Elle s'y allongea, se confia à Dieu et s'endormit.
Quand la nuit fut complètement tombée, les propriétaires de la maisonnette arrivèrent. C'était sept nains qui, dans la montagne, travaillaient à la mine. Ils allumèrent leurs sept petites lampes et quand la lumière illumina la pièce, ils virent que quelqu'un y était venu, car tout n'était plus tel qu'ils l'avaient laissé.
- Le premier dit : Qui s'est assis sur ma petite chaise ?
- Le deuxième : Qui a mangé dans ma petite assiette ?
- Le troisième : Qui a pris de mon pain ?
- Le quatrième : Qui a mangé de mes légumes ?
- Le cinquième : Qui s'est servi de ma fourchette ?
- Le sixième : Qui a coupé avec mon couteau ?
- Le septième : Qui a bu dans mon gobelet ?
Le premier, en se retournant, vit que son lit avait été dérangé.
- Qui a touché à mon lit ? dit-il.
Les autres s'approchèrent en courant et chacun s'écria :
- Dans le mien aussi quelqu'un s'est couché !
Mais le septième, quand il regarda son lit, y vit Blanche-Neige endormie. Il appela les autres, qui vinrent bien vite et poussèrent des cris étonnés. Ils prirent leurs sept petites lampes et éclairèrent le visage de Blanche-Neige.
- Seigneur Dieu ! Seigneur Dieu ! s'écrièrent-ils ; que cette enfant est jolie !
Ils en eurent tant de joie qu'ils ne l'éveillèrent pas et la laissèrent dormir dans le petit lit. Le septième des nains coucha avec ses compagnons, une heure avec chacun, et la nuit passa ainsi.
Au matin, Blanche-Neige s'éveilla. Quand elle vit les sept nains, elle s'effraya. Mais ils la regardaient avec amitié et posaient déjà des questions :
- Comment t'appelles-tu ?
- Je m'appelle Blanche-Neige, répondit-elle.
- Comment es-tu venue jusqu'à nous ?
Elle leur raconta que sa belle-mère avait voulu la faire tuer, mais que le chasseur lui avait laissé la vie sauve et qu'elle avait ensuite couru tout le jour jusqu'à ce qu'elle trouvât cette petite maison. Les nains lui dirent :
- Si tu veux t'occuper de notre ménage, faire à manger, faire les lits, laver, coudre et tricoter, si tu tiens tout en ordre et en propreté, tu pourras rester avec nous et tu ne manqueras de rien.
- D'accord, d'accord de tout mon cœur, dit Blanche-Neige.
Et elle resta auprès d'eux. Elle s'occupa de la maison. le matin, les nains partaient pour la montagne où ils arrachaient le fer et l'or ; le soir, ils s'en revenaient et il fallait que leur repas fût prêt. Toute la journée, la jeune fille restait seule ; les bons petits nains l'avaient mise en garde :
- Méfie-toi de ta belle-mère ! Elle saura bientôt que tu es ici ; ne laisse entrer personne !
La reine, cependant, après avoir mangé les poumons et le foie de Blanche-Neige, s'imaginait qu'elle était redevenue la plus belle de toutes. Elle se mit devant son miroir et demanda :

Miroir, miroir joli,
Qui est la plus belle au pays ?

Le miroir répondit :

Madame la reine, vous êtes la plus belle ici,
Mais, par-delà les monts d'airain,
Auprès des gentils petits nains,
Blanche-Neige est mille fois plus belle.

La reine en fut bouleversée ; elle savait que le miroir ne pouvait mentir. Elle comprit que le chasseur l'avait trompée et que Blanche-Neige était toujours en vie. Elle se creusa la tête pour trouver un nouveau moyen de la tuer car aussi longtemps qu'elle ne serait pas la plus belle au pays, elle savait que la jalousie ne lui laisserait aucun repos. Ayant finalement découvert un stratagème, elle se farda le visage et s'habilla comme une vieille marchande ambulante. Elle était méconnaissable.
Ainsi déguisée, elle franchit les sept montagnes derrière lesquelles vivaient les sept nains. Elle frappa à la porte et dit :
- J'ai du beau, du bon à vendre, à vendre !
Blanche-Neige regarda par la fenêtre et dit :
- Bonjour, cher Madame, qu'avez-vous à vendre ?
- De la belle, de la bonne marchandise, répondit-elle, des corselets de toutes les couleurs.
Elle lui en montra un tressé de soie multicolore.
« Je peux bien laisser entrer cette honnête femme ! » se dit Blanche-Neige. Elle déverrouilla la porte et acheta le joli corselet.
- Enfant ! dit la vieille. Comme tu t'y prends ! Viens, je vais te l'ajuster comme il faut !
Blanche-Neige était sans méfiance. Elle se laissa passer le nouveau corselet. Mais la vieille serra rapidement et si fort que la jeune fille perdit le souffle et tomba comme morte.
- Et maintenant, tu as fini d'être la plus belle, dit la vieille en s'enfuyant.
Le soir, peu de temps après, les sept nains rentrèrent à la maison. Quel effroi fut le leur lorsqu'ils virent leur chère Blanche-Neige étendue sur le sol, immobile et comme sans vie ! Ils la soulevèrent et virent que son corselet la serrait trop. Ils en coupèrent vite le cordonnet. La jeune fille commença à respirer doucement et, peu à peu, elle revint à elle. Quand les nains apprirent ce qui s'était passé, ils dirent :
- La vieille marchande n'était autre que cette mécréante de reine. Garde-toi et ne laisse entrer personne quand nous ne serons pas là !
La méchante femme, elle, dès son retour au château, s'était placée devant son miroir et avait demandé :

Miroir, Miroir joli,
Qui est la plus belle au pays ?

Une nouvelle fois, le miroir avait répondu :

Madame la reine, vous êtes la plus belle ici.
Mais, par-delà les monts d'airain,
Auprès des gentils petits nains,
Blanche-Neige est mille fois plus belle.

Quand la reine entendit ces mots, elle en fut si bouleversée qu'elle sentit son cœur étouffer. Elle comprit que Blanche-Neige avait recouvré la vie.
- Eh bien ! dit-elle, je vais trouver quelque moyen qui te fera disparaître à tout jamais !
Par un tour de sorcellerie qu'elle connaissait, elle empoisonna un peigne. Elle se déguisa à nouveau et prit l'aspect d'une autre vieille femme.
Elle franchit ainsi les sept montagnes en direction de la maison des sept nains, frappa à la porte et cria :
- Bonne marchandise à vendre !
Blanche-Neige regarda par la fenêtre et dit :
- Passez votre chemin ! je n'ai le droit d'ouvrir à quiconque.
- Mais tu peux bien regarder, dit la vieille en lui montrant le peigne empoisonné. Je vais te peigner joliment.
La pauvre Blanche-Neige ne se douta de rien et laissa faire la vieille ; à peine le peigne eut-il touché ses cheveux que le poison agit et que la jeune fille tomba sans connaissance.
- Et voilà ! dit la méchante femme, c'en est fait de toi, prodige de beauté !
Et elle s'en alla. Par bonheur, le soir arriva vite et les sept nains rentrèrent à la maison. Quand ils virent Blanche-Neige étendue comme morte sur le sol, ils songèrent aussitôt à la marâtre, cherchèrent et trouvèrent le peigne empoisonné. Dès qu'ils l'eurent retiré de ses cheveux, Blanche-Neige revint à elle et elle leur raconta ce qui s'était passé. Ils lui demandèrent une fois de plus d'être sur ses gardes et de n'ouvrir à personne.
Rentrée chez elle, la reine s'était placée devant son miroir et avait demandé :

Miroir, miroir joli,
Qui est la plus belle au Pays ?

Comme la fois précédente, le miroir répondit :

Madame la reine, vous êtes la plus belle ici.
Mais, par-delà les monts d'airain,
Auprès des gentils petits nains,
Blanche-Neige est mille fois plus belle.

Quand la reine entendit cela, elle se mit à trembler de colère.
- Il faut que Blanche-Neige meure ! s'écria-t-elle, dussé-je en périr moi-même !
Elle se rendit dans une chambre sombre et isolée où personne n'allait jamais et y prépara une pomme empoisonnée. Extérieurement, elle semblait belle, blanche et rouge, si bien qu'elle faisait envie à quiconque la voyait ; mais il suffisait d'en manger un tout petit morceau pour mourir.
Quand tout fut prêt, la reine se farda le visage et se déguisa en paysanne. Ainsi transformée, elle franchit les sept montagnes pour aller chez les sept nains. Elle frappa à la porte. Blanche-Neige se pencha à la fenêtre et dit :
- Je n'ai le droit de laisser entrer quiconque ici ; les sept nains me l'ont interdit.
- D'accord ! répondit la paysanne. J'arriverai bien à vendre mes pommes ailleurs ; mais je vais t'en offrir une.
- Non, dit Blanche-Neige, je n'ai pas le droit d'accepter quoi que ce soit.
- Aurais-tu peur d'être empoisonnée ? demanda la vieille. Regarde : je partage la pomme en deux ; tu mangeras la moitié qui est rouge, moi, celle qui est blanche.
La pomme avait été traitée avec tant d'art que seule la moitié était empoisonnée. Blanche-Neige regarda le fruit avec envie et quand elle vit que la paysanne en mangeait, elle ne put résister plus longtemps. Elle tendit la main et prit la partie empoisonnée de la pomme. À peine y eut-elle mis les dents qu'elle tomba morte sur le sol. La reine la regarda de ses yeux méchants, ricana et dit :
- Blanche comme neige, rose comme sang, noir comme ébène ! Cette fois-ci, les nains ne pourront plus te réveiller !
Et quand elle fut de retour chez elle, et demanda au miroir :

Miroir, miroir joli,
Qui est la plus belle au pays ?

Celui-ci répondit enfin :

Madame la reine, vous êtes la plus belle au pays.

Et son cœur jaloux trouva le repos, pour autant qu'un cœur jaloux puisse le trouver.
Quand, au soir, les petits nains arrivèrent chez eux, ils trouvèrent Blanche-Neige étendue sur le sol, sans souffle. Ils la soulevèrent, cherchèrent s'il y avait quelque chose d'empoisonné, défirent son corselet, coiffèrent ses cheveux, la lavèrent avec de l'eau et du vin. Mais rien n'y fit : la chère enfant était morte et morte elle restait. Ils la placèrent sur une civière, s'assirent tous les sept autour d'elle et pleurèrent trois jours durant. Puis ils se préparèrent à l'enterrer. Mais elle était restée fraîche comme un être vivant et ses jolies joues étaient roses comme auparavant.
Ils dirent :
- Nous ne pouvons la mettre dans la terre noire.
Ils fabriquèrent un cercueil de verre transparent où on pourrait la voir de tous les côtés, l'y installèrent et écrivirent dessus son nom en lettres d'or, en ajoutant qu'elle était fille de roi. Ils portèrent le cercueil en haut de la montagne et l'un d'eux, sans cesse, monta la garde auprès de lui.
Longtemps Blanche-Neige resta ainsi dans son cercueil toujours aussi jolie. Il arriva qu'un jour un prince qui chevauchait par la forêt s'arrêta à la maison des nains pour y passer la nuit. Il vit le cercueil au sommet de la montagne, et la jolie Blanche-Neige. Il dit aux nains :
- Laissez-moi le cercueil ; je vous en donnerai ce que vous voudrez.
Mais les nains répondirent :
- Nous ne vous le donnerons pas pour tout l'or du monde.
Il dit :
- Alors donnez-le-moi pour rien ; car je ne pourrai plus vivre sans voir Blanche-Neige ; je veux lui rendre honneur et respect comme à ma bien-aimée.
Quand ils entendirent ces mots, les bons petits nains furent saisis de compassion et ils lui donnèrent le cercueil. Le prince le fit emporter sur les épaules de ses serviteurs. Comme ils allaient ainsi, l'un d'eux buta sur une souche. La secousse fit glisser hors de la gorge de Blanche-Neige le morceau de pomme empoisonnée qu'elle avait mangé. Bientôt après, elle ouvrit les yeux, souleva le couvercle du cercueil et se leva. Elle était de nouveau vivante !
- Seigneur, où suis-je ? demanda-t-elle.
- Auprès de moi, répondit le prince, plein d'allégresse.
Il lui raconta ce qui s'était passé, ajoutant :
- Je t'aime plus que tout au monde ; viens avec moi, tu deviendras ma femme.
Blanche-Neige accepta. Elle l'accompagna et leurs noces furent célébrées avec magnificence et splendeur.
La méchante reine, belle-mère de Blanche-Neige, avait également été invitée au mariage. Après avoir revêtu ses plus beaux atours, elle prit place devant le miroir et demanda :

Miroir, miroir joli,
Qui est la plus belle au pays ?

Le miroir répondit :

Madame la reine, vous êtes la plus belle ici,
Mais la jeune souveraine est mille fois plus belle.

La méchante femme proféra un affreux juron et elle eut si peur, si peur qu'elle en perdit la tête.


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时芝依卡: For how to better use the talent and how to more effectively on employees incentive for research. Firstly, starting from the concept of employee motivation theory of incentives, and expounded. Secondly, the modern enterprise staff incentive and to adopt the haier group staff incentive for case study.

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时芝依卡: I must write him a letter right away Could you please bring in my book with you tomorrow? Children always grow up fast This suit fits you really well. I am afraid that this pair of shoes belong to LiMing Please color this book. Take care your sister please ...

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时芝依卡: Burdens the school after school hours so that students have more time after school, students can watch their favorite books, but also develop their own hobbies, an increase of their own knowledge. But also can participate in a variety of sports, so that students will be more exciting after-school life.

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时芝依卡: 1、A car was charging at me and I stepped aside in a hurry. 2、That drunk who was wandering on the street was dragged to the central street 3、People caught sight of Jielun zhou, they broke into cheers 4、That poor girl clumsily smashesed a few dishes, and her boss shouted rude remarks to her 好了,哥们,希望来得及 希望采纳,谢谢

安福县13819562993: 希望英语高手帮忙用英语翻译下下面的句子.很着急、谢谢.
时芝依卡: There are lots of dreams of the youth which could not be realized, so we have to work harder. Sometime, people should take it seriously to everything, so don't promise anything so easily. once you promised, you have to do your best to make it come true.

安福县13819562993: 英语高手帮忙翻译一下,急啊!!!
时芝依卡: Junwen Jing

安福县13819562993: 初中英语对话翻译,高手来帮下忙啊老师让上去讲对话,急死我了.高手帮下忙吧. A:Hi,Jack你最喜欢的运动是什么呢? B:我最喜欢的运动是乒乓球. A:为什... -
时芝依卡:[答案] A:Hi,Jack你最喜欢的运动是什么呢? hi,Jace,what is your favorite sport? B:我最喜欢的运动是乒乓球.i like playing pingpong best. A:为什么喜欢乒乓球呢?why do you like it ? B:因为打乒乓球可以很好的锻炼...

安福县13819562993: 英语高手帮我翻译一下啊~~~~~急啊~~~在线翻译滴88What a man must do The old man of the title is Santiago, a Cuban fisherman now 85 years old. In his time... -
时芝依卡:[答案] 楼主,故事是讲的海明威的《老人和海》吧 一个男人必须要做的 标题中所说的男人叫圣地亚哥,是一个现年85岁的古巴渔... 每一条鲨鱼都咬走了这条鱼很大的一块.虽然圣地亚哥奋力杀死了一些鲨鱼,但是最后,这条大鱼还是只剩下了一条巨大的尾...

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